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Romain était atteint de sécheresse oculaire grave, maladie dite inguérissable et très handicapante. Voici son témoignage et les résultats qu’il a eu avec le programme EPIGENISE.

Visionnez l’épisode en vidéo :

Écoutez l’épisode en version Podcast :

Retranscription écrite de la vidéo (la qualité de la retranscription est sans doute moyenne car j’ai utilisé un logiciel de reconnaissance vocale) :

 

Maxime (EPIGENISE) : Hello Romain !

Romain : Salut Maxime !

Maxime (EPIGENISE) : Cela fait plaisir de te voir en Visio. En fait, je voulais faire cette petite vidéo depuis longtemps, parce que chez Epigenise, j’accompagne pas mal de personnes qui ont des maladies chroniques graves et compliquées que la médecine conventionnée n’arrive pas à dresser. Je me disais que tu étais vraiment un bon exemple de ce qu’on fait chez Epigenise, car tu avais une maladie qui était super compliquée à la base. Quand tu venais me voir, tu avais beaucoup de difficultés. Vu que j’accompagne énormément de personnes dans le même cas que toi, pas forcément la même maladie, mais exactement des symptômes extrêmement complexes qui ont un impact énorme sur leur vie personnelle et professionnelle. Je me suis dit que cela serait bien de voir que tu donnes un peu ton témoignage sur l’expérience que tu as eu chez Epigenise, pour que tout le monde ait eu l’information de ce qu’on fait, et du résultat que tu as pu obtenir grâce à mon accompagnement. Est-ce que tu peux raconter ton histoire, comment tu as vécu ta maladie, comment tu m’as trouvé et ce qu’on a fait ensemble et du résultat ?

Romain : Très bien ! Alors moi, pour donner un peu de contexte, j’ai toujours été quelqu’un d’assez nerveux, assez stressé. Je n’avais pas de maladie particulière. J’avais quelques allergies qui traînaient un peu, qui arrivaient à la fin du printemps et qui partaient au début de l’été. C’est une sorte de rhume des foins. Mais c’est tout. Je n’avais en apparence aucun problème. Tout allait bien, jusqu’au jour où tout n’allait plus bien. J’étais parti faire un stage pendant six mois au Canada. Du jour au lendemain, j’ai eu l’impression d’avoir un caillou derrière l’œil droit, qui est sorti de nulle part. J’étais certain qu’il n’était pas rentré de l’extérieur. Je ne sais pas trop comment, même pas toujours aujourd’hui. J’avais vraiment une pente glissante, pendant quatre, cinq mois, où j’ai l’œil qui est devenu de plus en plus sec. Il y avait des phénomènes de douleurs au niveau des yeux, plus particulièrement de la peau qui entoure les yeux, autour des cavités orbitales. J’avais une sensation d’aiguille qui rentre profondément dans la peau et dans le nerf. Cela me rendait complètement fou. C’était une sensation inimitable et terrible. Cela a augmenté pendant trois, quatre mois, et cela ne s’est jamais arrêté d’augmenter. Le début était au Canada, mais je suis rentré en France après environ un ou deux mois avant le début des symptômes. J’ai fait comme tout le monde. J’allais voir le docteur, et il ne savait pas. Il me dirigeait vers un ophtalmologue qui m’a donné des corticoïdes, un antibiotique en solution des larmes, une sorte de désinfectant oculaire. Je n’ai plus le terme exact, mais en gros, contre les bactéries, en me disant : “On va voir ce qui se passe. Normalement, …”

Maxime (EPIGENISE) : “… cela va passer !”

Romain : Oui ?

Maxime (EPIGENISE) : Il t’avait dit que tu avais tous les outils en main pour que cela passe.

Romain : Voilà ! En fait, concrètement, et je le sais maintenant qu’il ne savait pas ce que j’avais. Il a traité toutes les solutions les plus simples, en disant : “J’espère que cela va passer. Si cela ne passe pas, c’est plus grave.”. Avec les corticoïdes, plus de douleur, plus rien. Même en quelques minutes, tous les symptômes ont disparu. L’œil est devenu de nouveau humide. Tout allait bien. Le problème, c’est que les corticoïdes ont duré deux semaines. L’amélioration a duré à peu près un mois. Mais au bout d’un mois, c’est revenu en quelques jours. D’un coup, on a de nouveau le cycle, des corticoïdes, avec juste les larmes artificielles. Et c’est tout. Cela n’a pas duré un mois, l’amélioration a juste duré une semaine, et j’ai répété le cycle deux, trois fois encore. Quand les premiers corticoïdes, c’était courant décembre. Jusqu’au mois de février, j’ai répété le cycle quatre ou cinq fois. À chaque fois, le cycle est de plus en plus court. À la fin, cela ne faisait plus rien du tout. L’œil est de plus en plus sec. D’autres symptômes sont apparus, comme la photosensibilité. C’est dur d’expliquer cela aux gens. Vous imaginez en tête que chaque lumière est comme le soleil. C’est insoutenable et intolérable. Chaque lumière, chaque LED, chaque feu de circulation, chaque phare de voiture, chaque lampadaire, tout devient éblouissant. On ne voit plus que comme un entonnoir qui tape. C’est assez terrible.

Maxime (EPIGENISE) : Ok !

Romain : Il y a aussi le fait de pouvoir toucher avec les yeux. C’est aussi quelque chose qui ne s’explique pas, mais que chaque personne qui connaît la sensation comprend à quel point c’est désagréable et insupportable de pouvoir toucher, et d’avoir cette sensation de contact avec la surface oculaire. Bref, ce n’était vraiment pas cool. J’avais fait les hôpitaux, et cela ne marchait pas. J’ai commencé à tester des ophtalmologues en clinique, notamment à 05:24 [illisible], parce que je n’avais toujours pas de solution.

Maxime (EPIGENISE) : Tu avais le nom de ta maladie à ce moment-là ou pas ?

Romain : Non, je n’avais pas le nom de ma maladie. Je ne savais pas ce que j’avais. Il comprenait qu’il y avait une inflammation de la surface oculaire, que cela a généré de la sécheresse. Mais c’est tout ce qu’il savait expliquer. Il ne savait ni les causes, ni l’origine, ni comment j’allais pouvoir m’en sortir.

Maxime (EPIGENISE) : Ok !

Romain : Sinon, j’ai monté en intensité. Donc, je suis passé d’un ophtalmologue qui fait des lunettes à 05:55 [illisible]. J’ai fait la Fondation Rothschild à Paris. Cela a duré quatre, cinq semaines. On m’a diagnostiqué une allergie. C’était une allergie aux pollens de graminées. Moi, j’ai vu les symptômes toute l’année, même quand il n’y avait pas de pollens.

Maxime (EPIGENISE) : En réalité, c’est une chance, parce qu’à l’époque où tu m’as contacté, on ne faisait que le programme contre les allergies.

Romain : Effectivement ! C’est comme cela que j’en suis arrivé à découvrir. Mais là, on a sauté quelques étapes. Ma première découverte de l’allergie, où on a découvert une deuxième moisissure qui pouvait être présente toute l’année, parce que c’est présent dans les végétaux qui se décomposent en extérieurs, en hiver et fin printemps. C’est là où il n’y a pas de pollens. Ces moisissures sont une vraie saloperie, qui vit dans les climatiseurs. Donc, ils se trouvent dans tous les endroits et centres commerciaux, chauffage, les avions, etc. De toute façon, je ne voyageais plus, mais j’avais fait un retour. Dans l’avion, c’était particulièrement intolérable. Ils commençaient à creuser. Je leur ai donné toutes les clés. Mais c’était de la recherche et du test. C’est le troisième allergologue qu’il a trouvé, parce que les deux premiers n’ont pas trouvé la moisissure. Donc, c’est vraiment un problème de recherche sans arrêt, et on commençait à comprendre le mécanisme. J’avais mal et j’avais les yeux secs, parce qu’il y avait une inflammation chronique et il y avait cette inflammation chronique, parce qu’il y avait une réaction à des éléments extérieurs. Ensuite, je vais passer encore sept ou huit mois de désensibilisation. Cela n’a pas servi à grand-chose. Celle-là m’a aidé un peu sur les moisissures, mais en fait, quasiment pas. Là, je commençais à comprendre que j’étais dans la merde, et qu’ils n’avaient pas de solution. J’avais trouvé un super centre, tu sais, le fameux centre dont je t’ai parlé pour m’accompagner sur les symptômes, notamment, pour vérifier le fonctionnement des glandes 08:00 [illisible]. J’ai aussi mis du temps à le trouver. C’est un centre ophtalmologique qui était vraiment top, avec des traitements de pointe. Cela m’a vraiment permis de soulager les symptômes et de limiter la progression de la maladie. Maintenant, il fallait traiter les causes. Donc, j’ai commencé à chercher des choses un peu plus exotiques. Alors, j’ai commencé par un marabout au fond des bois. C’est vraiment de grand-mère, un rebouteux.

Maxime (EPIGENISE) : Tu ne m’as jamais dit cela !

Romain : Je ne te l’ai jamais dit ? Bah, voilà ! c’est comme cela. Il y a des gens pour qui cela a marché. Moi, cela n’a pas beaucoup marché, voire pas du tout. Donc, j’ai cherché autre chose. J’allais gérer deux ou trois pistes. J’avais de la gemmologie qui, et au final, je n’y suis pas allé. J’avais beaucoup de réflexions. J’ai fini par tomber chez toi. Effectivement, c’était pour guérir l’allergie. J’avais déjà fait un travail préliminaire pour des solutions qui existaient, totalement au hasard. J’avais commencé à faire du sport, parce que j’avais pris un peu de poids. J’avais commencé à travailler en parallèle, et j’avais besoin de perdre, parce que je tournais vraiment à la bouffe. Et j’avais réalisé qu’en fait, tous mes symptômes s’arrêtaient pendant la séance de musculation. Ce n’était pas une guérison, mais au moins, c’est une heure et demie par semaine où je n’avais pas mal. À cette époque, j’ai vraiment mal tout le temps. Je me levais et couchais avec. C’était génial ! Je me rappelle, je ne pouvais pas pleurer, parce que malheureusement, je n’arrivais pas à pleurer. Si j’avais pu, j’aurais dû le faire, car c’était juste génial. J’avais commencé à faire un programme alimentaire qui était une version super soft et basique qu’on peut faire en musculation. Il y avait quelque chose qui se passait, et c’était vraiment infime, mais cela agissait. J’avais déjà l’idée en tête que l’activité physique et l’alimentation, il y avait quelque chose à faire dessus. Donc, j’avais cette idée en tête. Je suis arrivé sur cette nouvelle piste, et je suis arrivé chez toi. Et ce qui a été génial, c’est que tu avais déjà le même parcours. Ce n’est pas un abandon. C’est l’idée d’être allé au bout de ce que la médecine conventionnée peut faire et de ne pas avoir encore trouvé de solution à un problème qui était juste impossible de vivre avec. Ce n’est pas de la douilletterie ou l’idée de se dire “j’ai un petit bobo, cela ne va pas !”. C’était juste insupportable. D’un point de vue mental et moral, ce n’est pas acceptable de dire que je vais vivre avec cela toute ma vie, car ce n’était pas une vie. Je suis allé présenter ce que tu faisais et ta façon de voir les choses. J’ai eu un peu peur au début. J’avais quand même déjà pris ce déclic de me dire que le sport n’est pas que des conneries. Ce n’est pas juste un truc de bobos ou de bodybuilder. Il y a vraiment quelque chose à faire. L’Alimentation, c’est pareil. J’avais déjà cela. Grâce à toi, tu m’as vraiment 11:04 [illisible]. Tu avais déjà fait le parcours. Tu m’as expliqué les théories, les améliorations avec le programme. Tu l’as un peu adapté en fonction de ce que je pouvais faire ou ne pas faire. Mais en fait, tu avais déjà toutes les clés. Individuellement, chacune des clés ne fait pas grand-chose. C’est l’ensemble, un tout cohérent.

Maxime (EPIGENISE) : Justement, c’est cela le problème. En fait, c’est un truc de fou et c’est irrationnel en même temps. Mais maintenant, j’accompagne des gens qui ont des maladies très graves, comme Étienne. Ils font déjà des trucs sur l’alimentation et sur le sport. Le problème, c’est qu’ils sont accompagnés par une personne qui a juste une vision du sport ou une vision de l’alimentation. Alors qu’en fait, le travail du naturopathe, selon moi, c’est de prendre la personne dans sa globalité et prendre tous les outils. On essaye de faire un mélange avec tout pour arriver à l’objectif. On ne va pas arriver avec juste l’alimentation ou juste avec le sport. On fait plein d’autres choses à côté. Il y a aussi un petit peu de plantes. On réutilise l’eau froide, l’eau chaude. Il y a plein de choses qu’on va utiliser. C’est avec la vision globale qu’on y arrive, parce que juste avec l’alimentation, je n’aurais rien fait avec toi.

Romain : Oui ! Et c’est ce qu’il faut savoir, c’est que je crois qu’on a commencé à travailler ensemble. Aujourd’hui, juste avant le mois de décembre 2020, on a commencé à travailler ensemble avec le premier programme. Je crois que c’était au mois de juin, c’est cela ?

Maxime (EPIGENISE) : Oui, c’est bien cela !

Romain : J’ai passé le mois de mai. C’était pendant le confinement. Moi, j’étais confiné en même temps dans ma maison, dans ma chambre. Je ne sortais même plus. Même à l’intérieur, j’étais super sensible aux pollens. C’était intolérable.

Maxime (EPIGENISE) : Tu avais fermé aussi les rideaux, ou avais- tu avais la lumière ou pas ?

Romain : Toute la journée, les rideaux sont fermés. Il n’y a rien qui rentrait et qui sortait, sans que je l’eusse regardé. Mes vêtements, je n’avais pas les mêmes. J’avais vraiment appliqué tous les conseils de base. Je ne sortais pas les cheveux mouillés, ceci cela. J’étais vraiment trois crans au-dessus. J’étais en mode “guerre nucléaire”. J’étais vraiment recluse, c’est le bon terme.

Maxime (EPIGENISE) : Justement, on va arriver au but. Toi, tu as eu deux programmes, un premier sur les allergies, et cela n’a pas du tout marché. C’est aussi intéressant de le dire. En fait, j’ai fait une erreur. J’aurais dû remettre en question le diagnostic qui a été fait par la médecine conventionnée, car tu avais été diagnostiqué allergique. En réalité, si on regarde les symptômes, ce n’est pas trop des symptômes allergiques, parce qu’on ne voit pas trop de réactions à un allergène. À l’époque, il faut le savoir, le seul programme qu’on avait monté chez Epigenise, c’était le programme sur les allergies. Tant mieux pour toi et pour nous, parce que cela nous a permis d’y arriver.

Romain : C’est grâce à cela qu’on s’est rencontré, en fait.

Maxime (EPIGENISE) : Oui, carrément. En gros, on a commencé. Je t’ai fait un programme sur mesure, en partant de ton problème principal, c’était des allergies. Tu as suivi les conseils à la lettre du programme, comme tu dis. Je t’ai fait un programme qui était assez important, parce que le programme est proportionnel aux problèmes qu’on essaye de régler. Tu as suivi les conseils à la lettre. Tu as tout fait. Au bout d’un mois, je t’ai demandé : “Comment ça va, les symptômes ?”. Normalement, en suivant autant à la lettre les conseils avec un programme aussi ficelé, au bout d’un mois, tu sens déjà que 70% des symptômes allergiques sont partis. Mais tu me dis “non, il n’y a pas grand-chose”. Cela a marché à 5 %, je crois.

Romain : Oui, il y avait quelque chose qui bougeait. Encore une fois, je sentais que cela travaillait, mais c’était très loin d’être guéri. Je n’ai peut-être pas précisé aussi, parce que j’essaye de garder un format assez condensé. J’avais déjà eu effectivement plusieurs diagnostics, et notamment, l’ophtalmologue avec qui je travaille en parallèle de ce qu’on fait ensemble. C’était le meilleur. Il est très bon, et il a une expérience de fou. Il a des outils de fou. Il m’a dit : “Écoutez, Monsieur Guimonet, je comprends ce que vous me dites. Mais maintenant, je suis désolé, je ne sais pas ce que vous avez”. On a l’impression qu’il est incompétent, mais en fait, c’était vraiment un aveu de compétence.

Maxime (EPIGENISE) : C’est mieux de dire quand tu …

Romain : Oui, cela m’avait fait du bien, parce qu’avant, même les grands médecins renommés (je ne vais pas donner de nom, mais il y en a une dizaine) qui me disait : “Bonjour, Monsieur Guimonet !” Il t’ausculte 30 secondes. C’est un peu rapide, mais il t’ausculte 5 à 10 minutes. Il regarde tes yeux et te dit : “Vous avez une rosacée ! Vous êtes allergiques !”. Je dis : “Oui, super les gars, merci !”. Ensuite, il me dit : “Prenez cela comme médicaments, cela va passer. On ne peut pas le guérir”. Tu as envie de leur dire : “Ah oui ? D’accord, merci”. Fondamentalement, il y avait aussi ce problème au niveau des diagnostics. Effectivement, cela n’avançait pas vraiment dans une case. Avant de travailler avec toi, j’avais déjà été mis au contact que ce n’était pas quelque chose de banal. C’est vrai qu’effectivement, on a fait un programme. Il était ficelé pour les personnes qui vivaient avec moi, mes parents et mes frères et sœurs. Même les gens autour de moi, ma famille et mes amis qui me regardaient faire cela, cela avait l’air énorme et délirant. Mais quand tu as mal, ce n’est même pas une question. C’est une porte d’échappatoires, et on devrait faire mieux. C’est vrai qu’à la fin du premier, cela n’a pas beaucoup été efficace.

Maxime (EPIGENISE) : Oui, je me rappelle. Je t’ai appelé et tu m’as dit “non, il n’y a rien. C’est 5 %, c’est tout”. Je me suis dit “c’est quoi ce bordel ?”. Mais je me rappelle, je te disais : “Bon, je te rappelle demain. Je vais y réfléchir”. Je me suis posé et je me suis dit : “Mais comment c’est possible ? Je n’ai jamais eu quelqu’un qui n’a pas stoppé ses allergies. En plus, c’est un programme aussi ficelé qu’on n’avait jamais fait, et que tu avais respecté. Et après, j’ai une lumière qui est arrivée. Ce ne sont pas des allergies. En repensant aux symptômes et à toute ton histoire, le diagnostic est mauvais. Il va falloir qu’on fasse quelque chose de totalement différent. C’est à ce moment-là que c’est devenu beaucoup plus clair pour moi. Ensuite, je t’ai rappelé en disant : “Il y a deux solutions : soit tu penses que je suis un charlatan, parce que cela ne marche pas et je te rembourse tout de suite, puisque chez Epigenise, on rembourse le programme si cela ne marche pas. Dans ton cas, cela n’a pas marché. Ce n’est pas parce qu’on améliore 5 ou 10% des symptômes que cela fonctionne. Soit je te fais un deuxième programme. On fait quelque chose qui est totalement différent. Dans ton cas, c’était le système lymphatique qui était surchargé”. Ensuite, tu me disais : “Je te fais confiance !”. On passait au deuxième programme. Je prends à ma charge, parce que chez Epigenise, on est satisfait ou remboursé.

Romain : C’est vrai que je n’avais pas encore mentionné, mais ce que j’ai adoré dans ton discours, c’était ficelé. C’était des théories qui pourront sembler un peu 18:43 [illisible], parce que je n’étais pas encore exposé à cela. En tout cas, c’était déjà cohérent. Surtout, ce que j’avais vraiment adoré, c’était l’idée de te dire : “Écoute, soit je peux te guérir, et tu payes (c’est normal, parce que je t’apporte de la valeur), soit cela ne marche pas et je te rembourse et tu ne payeras rien”. Moi, j’ai fait une école de commerce, cela me parlait vraiment bien comme mentalité. Je trouvais cela top. Et c’est vrai qu’à la fin du premier programme, j’étais un peu déçu quand je me suis dit : “Merde ! j’ai du mal faire quelque chose et j’ai dû passer à côté d’un truc”. Du coup, on a refait. C’est vrai. Là, j’avoue que j’ai eu un peu peur au moment du deuxième. Pour ceux qui nous écoutent, c’était au début du mois d’août. J’avais passé en gros 6 semaines à ne manger que des fruits et des légumes, et beaucoup d’autres choses. J’ai vraiment pris un peu de recul et je me suis dit : “c’est quand même super costaud. C’est vraiment un acte de foi. Ce n’est pas simplement de devenir végane. C’est vraiment du goût de féculents”. Mais encore une fois, ma position était comme être sur un pont, et s’en est écroulée derrière moi. Donc il fallait courir droit devant et foncer.

Maxime (EPIGENISE) : Oui ! Et moi, je n’ai pas voulu perdre de temps. Donc j’ai essayé de rendre le truc un petit peu plus rapide. Après, cela s’adapte en fonction de la personne et de son trouble et en combien de temps on va y arriver. Mais vu qu’on avait déjà passé deux mois, et qu’on n’avait pas eu de résultats, il faut qu’on avance vraiment. On ne va pas y passer l’année. Tu m’as dit que tu étais capable de le faire, même si cela te paraissait chaud. Mais au final, cela a payé. Au bout de combien de temps tu as eu une crise curative ? Le nez qui coulait, …

Romain : Ah ! Cela était depuis août. En fait, quand j’ai arrêté, je me suis fait plaisir pendant une semaine. Il y a une semaine où j’ai tout relâché, pas simplement les fruits et légumes. J’ai tout relâché, j’ai 21:11 [illisible] la pause du gluten, et c’est revenu en très peu de temps. Ensuite, c’est reparti. Si on sort cette petite pause, je n’ai rien eu depuis juin.

Maxime (EPIGENISE) : Oui. Donc, ce que je voulais dire, c’est qu’à un moment, quand tu ne mangeais que des fruits et des légumes crus, tu avais eu le nez qui a coulé à fond pendant quelques jours, tu allais aux toilettes tous les jours et tu m’as tu m’as appelé : “Qu’est-ce que je fais ?”. Je répondais : “On continue, parce que c’est ce qu’on cherche. Juste pour expliquer rapidement, parce que cela ne va peut-être pas de soi pour les gens qui vont écouter. Mais en gros, dans la majorité des maladies, le corps est encrassé de certains types de toxines. Dans ton cas, ces toxines sont sous forme de colles. Donc, on a besoin de drainer ces toxines vers l’extérieur, puisqu’elles n’arrivent plus à sortir. C’est pour cela qu’on a mal. Donc, notre objectif ensemble, c’était de réussir à pouvoir faire sortir ces toxines par des portes de sortie du corps, qui sont des émonctoires. Les portes de sortie principales des toxines de colles, c’est le nez (le mucus), les poumons (l’air) et les intestins (les selles). À un moment, on a réussi à avoir une crise curative. Cette crise curative est extrêmement bénéfique. Il ne faut surtout pas la calmer, sauf si elle est très dangereuse. Si c’est le cas, il faut un petit peu la calmer, mais il ne faut pas la bloquer. Et toi, tu en as une pendant quelques jours.

Romain : 2 ou 3 jours, on se vide, mais c’est juste incroyable.

Maxime (EPIGENISE) : Et après cette crise curative, tu t’es senti mieux clairement.

Romain : Nettement !

Maxime (EPIGENISE) : Oui. Pourquoi ? Parce qu’on avait réussi à drainer une bonne partie des toxines. Cela confirme la théorie bizarre que je dis pratiquement à tous mes clients. On est rempli de toxines et il fallait les faire sortir. On le ressent, car à partir du moment où on ressent une crise active, cela va beaucoup mieux. Au fur et à mesure du programme, tu as commencé à sentir de plus en plus que cela allait mieux.

Romain : Cela s’est amélioré nettement, et notamment sur mes symptômes. Moi, j’avais déjà régulé la douleur. Avant de te voir, j’avais encore un peu de douleur, mais c’est très léger. En fait, j’ai régulé l’activité physique, notamment la musculation. Il restait la sécheresse et la photosensibilité. Ceux-ci, on l’a réduit à quasiment rien. En juin, quand je suis venu te voir, je ne touchais encore rien aux yeux. J’avais du mal à supporter le vent. J’étais très photosensible. Aujourd’hui, il ne reste quasiment plus rien. Comme je te le disais tout à l’heure, je peux conduire un peu la nuit, sur une distance relativement courte, mais je peux conduire la nuit sans lunettes de soleil, parce que j’ai moins besoin de protéger des lumières.

Maxime (EPIGENISE) : Parce que toi, tu es encore en programme. Romain, il n’a pas encore fini son programme. On est encore à un mois ou deux pour faire cela tranquillement. On a décidé d’y aller plus tranquillement et de le faire sur la longueur, parce que tu as des obligations personnelles aussi, etc. Donc, je pense qu’on a encore un mois ou deux petits mois à faire. Mais en tout cas, tu vois clairement que cela a quand même changé ta vie.

Romain : Complètement ! En fait, c’est vraiment un handicap. C’est frustrant de le voir comme cela. C’est même très déprimant. Il y a un moment, tu deviens handicapé des choses que tu ne veux juste plus faire. On ne peut pas se lever, courir, marcher. Quant à cela, tu es limité dans le temps et dans la durée que tu peux passer dehors, parce qu’à un moment, tu ne supportes plus.

Maxime (EPIGENISE) : Oui. C’est cool ! Qu’est-ce que je voulais dire de plus ? Est-ce que tu as d’autres trucs à dire là-dessus ?

Romain : Le fait que c’est succès ou remboursé, je trouve cela juste énorme. Dans cette approche-là, …

Maxime (EPIGENISE) : En fait, j’ai fait cela, parce que j’ai vécu le même enfer que mes clients. En réalité, même si on n’a pas les mêmes troubles, je n’ai pas eu les mêmes troubles que tous mes clients, à part ceux qui ont fait le programme sur les allergies. C’était ma plus grosse maladie, qui était une maladie extrêmement handicapante, puisque c’était une vraie allergie. Je me suis toujours dit : “comment est-ce possible que tous ces professionnels de santé, même ces thérapeutes de médecines douces (je mets tout le monde ensemble), qu’avec eux, j’aille améliorer mon état de santé”. Cela me prend énormément de temps. Cela me demande de l’engagement et de l’argent. Et après, quand cela ne marche pas, on dit : “Ce n’est pas de notre faute. Parfois, cela ne marche pas, parfois cela marche”. Je dis : “Comment est-ce possible que tout le monde puisse dire qu’avec eux, cela marchera, mais à la fin, quand cela ne marche pas, on dit que ce n’est pas de leur faute”. Quand j’ai monté le cabinet “Epigenise”, si un jour je rate avec un de mes clients, c’est au client de prendre sa responsabilité. Non ! C’est à moi, c’est moi le professionnel. Si je ne comprends pas, je ne fais pas mon boulot. Donc, je me suis dit de rembourser les gens. Bien sûr que je n’aimerais surtout pas, mais aujourd’hui, je n’ai remboursé personne. On a un taux de réussite de 100 %. Mais peut-être qu’un jour, je vais devoir le faire. Avec toi, j’ai failli le faire, et je l’aurai fait avec plaisir, parce que si tu me dis “Non, je vais arrêter, parce que je n’y crois plus”, je l’aurai fait. Mais je crois que c’est vraiment important. Je pense que franchement, je suis le premier cabinet au monde à faire cela. J’espère que cela va donner des idées à d’autres cabinets, parce que, éthiquement parlant, je crois que c’est important, et je trouve que c’est bien.

Romain : Je trouve cela important. Je ne sais pas si c’est le premier au monde. Ce que je sais, c’est que tu es le seul que je connaisse. Je trouve cela vraiment important, et à mettre en avant.

Maxime (EPIGENISE) : Et l’accompagnement au quotidien aussi, on n’en a jamais parlé ensemble. Donc, tu peux donner un feedback devant tout le monde. Mais vu qu’on se parle pratiquement au quotidien ou par semaine sur une application, pour savoir si les gens suivent mes conseils, pour pouvoir répondre aux questions que tout le monde peut se poser pendant le programme, etc. Toi, tu en penses quoi de tout cela ?

Romain : J’en pense que c’est super dans l’ensemble. Maintenant, pour te donner mon ressenti, comment il avait évolué. Au début, je t’envoie des photos de ce que je mange. Tu vérifies que cela correspond bien aux obligations. J’avoue que c’est un peu énervant. Tu as l’impression de te faire piquer. Pour le coup, c’est un peu énervant, mais je le fais, parce qu’il faut le faire. Encore une fois, c’est juste fondamental.

Maxime (EPIGENISE) : En fait, c’est extrêmement important, parce que, je ne sais pas si tu te rappelles, au début, je ne faisais pas du tout cela. Mais c’est extrêmement important si l’on veut aller aux résultats, parce que les clients font toujours au début des erreurs. On n’a pas toutes les infos, et je ne pense pas non plus. Il y a tellement de possibilités d’erreurs incroyables. Justement, le premier jour, la première semaine où tu as commencé le programme, tu as commencé à manger du taboulé.

Romain : Oui !

Maxime (EPIGENISE) : Bien sûr que tu ne réfléchis pas. Tu vas en manger, alors que dans ton programme, il ne fallait pas manger de blé. Donc, tu vois, on serait passé à côté de quelque chose de complètement radical, et on n’aurait pas réussi. Donc, je le fais, parce que je sais que pour réussir à ne pas passer à côté de quelque chose, obligatoirement, sur le premier, j’ai envie de recevoir les trucs. Aujourd’hui, tu ne m’envoies des photos, mais parce que je sais qu’aujourd’hui tu as la capacité, et tu es autonome pour y arriver.

Romain : Sur le premier mois, c’est le petit point négatif. Par contre, c’est comme contrebalancé, parce que c’est quand même un programme qui est très lourd. Cela demande de la discipline et de la rigueur. Même si on a la maladie, et la douleur qui est là, et surtout quand cela commence à s’atténuer, la discipline et la rigueur peuvent se relâcher un peu. On peut échanger, et du coup, c’est bien. Cela permet aussi de maintenir la discipline et l’engagement. Et tout cela, c’est juste top. Ce qui est génial aussi, c’est de voir que tu t’en es sorti. Je ne savais pas si j’allais m’en sortir ou pas, mais il y a quelqu’un qui s’en est sorti. Donc, je ne suis pas en train de chercher à voler sans ailes ou à voler comme un oiseau. S’il y a des gens qui sont sortis, c’est qu’il y a une possibilité de s’en sortir. On n’a pas les mêmes troubles, mais j’y vois une dose d’espoir. Et cela, c’était juste important.

Maxime (EPIGENISE) : Voilà ! Écoute, cela fait plaisir d’avoir ce petit feedback. Tu es le premier. On arrive à des résultats incroyables. Mon objectif, c’est de pouvoir dire officiellement qu’on s’est débarrassé du problème. On n’a pas dit que tu as été accompagné par de grands professeurs qui ont pu vérifier cliniquement que ton inflammation a gravement diminué au niveau des yeux. Donc, c’est physiologique, c’est physique. On a cliniquement de preuves.

Romain : Effectivement ! Ce n’est pas juste une sensation qui a disparu, c’est un problème fondamental avec ce type de maladie, que les gens comprennent, pas parce que c’est difficilement visible. Mais moi, qui avais une relation de folie, même les gens qui me connaissaient me disaient : “Tu es un peu rouge, mais c’est tout”. Je ne suis pas un peu rouge, mais je suis au bout de ma vie, et je vais crever. J’ai envie de crever. Je n’en peux plus. Quand on ouvrait un peu les paupières et qu’on regardait, c’était complètement rouge avec des cloques. Cela ressemblait à des graines de tapioca. C’était très particulier. Puis là, quasiment plus rien. Et moi, physiquement aussi, je revois de façon presque normale. Il y a de vraies améliorations. C’est cela aussi qui m’inquiétait un peu quand on a échangé pour la première fois. Quand on m’a dit “naturopathie”, je me suis dit : “Ok, c’est peace and love !”. Mais c’est beaucoup plus que cela. C’est vraiment beaucoup plus développé, beaucoup plus physique et très concret. Ce n’est pas du vent, c’est du concret et du solide.

Maxime (EPIGENISE) : Cool ! On va dire au revoir à tout le monde. Je vais arrêter la vidéo, mais on reste ensemble. On va se parler 2 ou 3 minutes.