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La première cause des allergies à la moisissure est un système immunitaire de premier niveau en immunodéficience. Il faut donc renforcer son système immunitaire de premier niveau pour travailler sur cette cause. La deuxième cause des allergies à la moisissure est un système lymphatique surchargé. Il faut aider le système à se nettoyer afin de réussir à maitriser ses allergies sur le long terme.

MONSIEUR-ALLERGIES.COM est maintenant EPIGENISE.COM

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Retranscription écrite de la vidéo (la qualité de la retranscription est sans doute moyenne car j’ai utilisé un logiciel de reconnaissance vocale) :

Hello les Allergiques ! 

C’est Epigenise et aujourd’hui, on va parler des deux causes des allergies à la moisissure. J’ai reçu une question de Nathalie qui me demande : 

Pourquoi je suis allergique à la moisissure ?

L’objectif de cet épisode est de vous expliquer les deux causes principales des allergies à la moisissure qui découle des deux causes des allergies respiratoires, car les allergies à la moisissure sont des allergies respiratoires.

Si vous avez besoin d’une piqûre de rappel sur ce que sont les allergies respiratoires, j’ai réalisé un épisode complet sur le sujet.

Pour commencer, je vais partir de la vision classique qu’on a aujourd’hui de l’allergie pour bien comprendre vos allergies à la moisissure. Ensuite, je vous dirai ce que j’en pense. Enfin, je vous présenterai les deux causes pour lesquelles certaines personnes vont faire des allergies à la moisissure. 

Les allergies à la moisissure, plusieurs causes proposées selon la vision classique

Selon la vision classique, l’allergie est un dysfonctionnement du système immunitaire qui va surréagir pour des choses totalement banales. On nous propose plusieurs hypothèses. Ce ne sont que des hypothèses, c’est-à-dire que rien n’est prouvé. 

Premièrement, la grande hypothèse, c’est de dire que l’allergie est une maladie génétique. On ne peut rien y faire, il y a un fatalisme autour de l’allergie. Ensuite viennent plusieurs petites hypothèses possibles, telles que : 

  •  La pollution de notre environnement
  •  Le trop d’hygiène de notre société
  •  La transformation de l’environnement
  •  La consommation des aliments importés (ex : fruit de la passion)
  •  Etc.

La vision “classique” remise en cause

Pendant très longtemps, j’ai adhéré totalement à cette vision des allergies. C’est une vision totalement fataliste. On ne sait vraiment pas pourquoi on est allergique. Je ne suis pas responsable de mes allergies, et je ne peux rien y faire. J’ai été allergique depuis l’âge d’un an. Pendant 18 ans, j’ai suivi tous les conseils de mes médecins. J’ai fait tout le parcours médical classique qu’un gros allergique peut faire. Arrivée à 18 ans, j’ai fait un compte-rendu de tous les efforts que j’ai fournis. D’année en année, mes allergies ne faisaient que s’empirer, jusqu’à en devenir complètement invivable. J’ai vu tous les plus grands spécialistes de France pour essayer de m’aider. Et je me suis dit que ce n’est pas en faisant toujours la même chose que je vais avoir des résultats différents. 

Donc, j’ai décidé d’aller voir d’autres avis. J’ai décidé d’écouter tous les autres avis à part la vision classique, dans l’espoir de découvrir certaines choses qui pourraient m’aider à maîtriser et à diminuer mes allergies. 

Bref, j’ai commencé à remettre tout cela en question. J’ai recherché par moi-même des informations sur les allergies. La première chose que j’ai faite, c’est de prendre mon ordinateur et d’essayer de comprendre :

  • Le début des allergies dans le monde
  • Son évolution
  • Sa particularité en France
  • La répartition des allergiques au monde
  • etc.

Les allergies à la moisissure, une croissance de 5% par an

J’ai découvert qu’à partir de 1900, on a des chiffres sur le taux de pourcentage des allergiques en France, et dans les autres pays du monde. C’est une maladie extrêmement jeune. De 1900 à 1970, on n’avait que 3 % d’allergiques en France. C’est faible. 

Mais à partir de 1970, la courbe fait un énorme pic. Elle ne s’est jamais arrêtée de monter jusqu’à ce jour. Aujourd’hui, le taux d’allergiques de la population française est à 30 %. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), 50 % de la population sera allergique à quelque chose en 2050. 

Pendant énormément de temps, le taux de pourcentage des allergiques en France est extrêmement stable. À partir de 1970, il commence à y avoir un pic, qui ne fait que monter. Il n’y a jamais eu de stagnation ou de baisse. 

C’est à peu près 5 % de croissance par an. À ma connaissance, c’est la maladie avec le plus fort taux de croissance qui existe dans le monde. 

J’ai accepté ces hypothèses longtemps, mais plus maintenant

J’ai accepté l’argument de la génétique, puisque j’ai un père qui était allergique. Quand même, je voyais autour de moi des gens qui devenaient allergiques, alors qu’il n’avait aucun cas dans leur famille. Ce n’est pas possible que dans les années 70, le système immunitaire de tout le monde se soit tous mis d’accord pour dysfonctionner. Bref, l’argument de génétique ne marche pas. On voit bien qu’il y a autre chose que la génétique. 

Ensuite, j’ai découvert qu’il y a une différence sur le taux de pourcentage d’allergique entre le pays industrialisé et le pays non industrialisé. Dans un pays non industrialisé, le taux de pourcentage des allergiques est à peu près 3 %. C’est exactement le même chiffre en France et dans les autres pays européens avant 1970. À partir du moment où le pays s’industrialise, son taux d’allergiques monte en flèche. Il arrive très rapidement aux 30 %. C’est un point intéressant. 

Donc, le système immunitaire de la population attend que le pays s’industrialise pour faire des allergies. C’est irrationnel comme réflexion. Tout cela veut dire qu’on nous vend de la “génétique”. L’argument de la génétique ne tient pas. Les systèmes immunitaires de tout le monde ne se sont pas tous mis d’accord pour évoluer en 1970. Il y a aussi une différence entre pays industrialisés et non industrialisés. Tout cela n’est pas possible. 

Le « Projet Génome Humain » pour comprendre le lien entre génétique et les allergies à la moisissure

Tout cela m’a amené à creuser cet aspect de la génétique, ce qu’on en connaît, son fonctionnement et ce qu’on a déjà découvert sur le sujet. J’ai appris qu’il y avait eu un projet qui s’appelle le « Projet Génome Humain ». Ce projet a été lancé il y a 30 ans, et s’est terminé il y a 15 ans. L’objectif de ce projet est de décrypter l’ensemble du génome humain. Si on réussit, on réussira à prévoir l’arrivée d’une maladie chez une personne et le moment de son arrivée. On pourra prévenir toutes les maladies du monde. L’humanité ne sera plus allergique. Les meilleurs scientifiques du monde se sont réunis. On a mis des milliards d’euros. Dans la théorie, c’est un projet génial. 

Au bout de quinze ans, on a réussi à décrypter l’ensemble du génome humain. On a ouvert le « livre » du génome humain. Mais on s’est rendu compte que ce qu’il y avait écrit n’est pas ce qu’on attendait d’y voir. En fait, on a découvert que 5 % de nos gènes sont « codants ». Cela veut dire qu’on ne peut pas les modifier, on ne peut rien y faire. Ces gènes sont nos caractères physiques, comme la couleur de la peau, des yeux, des cheveux, etc. Par contre, on a découvert aussi que 95 % de nos gènes sont « non codants ». Cela veut dire qu’ils peuvent être activés ou désactivés. 

La naissance de la science de l’épigénétisme

À ce moment-là, on a découvert ce qu’on appelle l’« épigénétisme ». C’est quelque chose qui est au-dessus de la génétique. C’est comme des interrupteurs pour activer ou désactiver nos gènes. Ces interrupteurs sont les facteurs environnementaux. Il y en a des centaines de milliers, voire des millions. Ces facteurs sont notre manière de vivre, notre boisson, nos relations sociales, notre relation avec la nature, nos émotions, la température. Ce sont un ensemble de facteurs qui se trouvent autour de nous. 

Depuis la fin du projet génome humain, on sait scientifiquement que la maladie n’est pas génétique. Elle est épigénétique. En fait, la génétique, c’est comme une partition de musique. Si deux différents musiciens l’utilisent, la musique ne sera pas la même. Plusieurs facteurs se posent : leur niveau, l’instrument qu’ils utilisent, leur goût de musique,… Pour une même partition et une même écriture, on peut avoir des mélodies totalement différentes. C’est exactement pareil avec notre patrimoine génétique. On arrive tous sur la terre avec un patrimoine génétique. Mais elle ne va s’activer que si on le veut. C’est ce que prouve l’épigénétisme. 

Donc, si on est capable de mettre son corps en bonne condition, il ne fera pas des allergies aux moisissures. 

Si on regarde les chiffres de la croissance des allergies, scientifiquement, cela ne tient pas. La question sur la génétique est complètement contraire à ce que j’avais découvert. Cela m’a pris des années à tester, discuter avec plein de personnes, à rechercher. À la fin, j’ai réussi à faire beaucoup plus que ce que je pensais. Aujourd’hui, je ne suis plus allergique. 

Epigenise a été créé pour accompagner les allergiques à y arriver

C’est ce que je fais avec mon cabinet « Epigenise ». L’objectif est de prouver cela à n’importe quel allergique, quel que soit son type d’allergie, son ancienneté et sa puissance. En huit semaines, n’importe qui est capable de maîtriser ses allergies. On a une proposition de valeur incroyable : si en huit semaines on ne réussit pas à maîtriser vos allergies, on vous rembourse. On prend nos responsabilités. Vous pouvez demander à vos médecins de vous faire une proposition pareille, ils n’accepteront jamais. Ils ne sont pas sûrs du résultat.

Nous sommes des spécialistes, des anciens allergiques. Nous sommes tous passés par là. Avant, on pensait que ce n’était pas faisable. Mais maintenant, on le sait. La science a prouvé que cette maladie n’était pas génétique. Quand on commence à comprendre et à appliquer les lois de la nature, le corps ne fait plus d’allergies, y compris l’allergie aux moisissures. 

La première cause des allergies à la moisissure : un système immunitaire en immunodéficience

La première cause des allergies à la moisissure, c’est le système immunitaire en immunodéficience. C’est totalement contraire de la vision “classique”. Le système immunitaire est en immunodéficience, il ne dysfonctionne pas. Le système immunitaire de deuxième niveau (explication plus bas) fait bien son travail. Par contre, le premier niveau ne fait pas son travail, car il est affaibli. Notre objectif est de travailler sur le renforcement de ce premier niveau du système immunitaire. 

Comprendre le système immunitaire pour comprendre ses allergies à la moisissure

Pour comprendre cette première cause, il faut comprendre la structure du système immunitaire. 

Aujourd’hui, quand on est allergique, on ne nous parle que du système immunitaire de deuxième niveau, sans le mentionner. En plus, on présente notre système immunitaire comme si c’était le système immunitaire de deuxième niveau. C’est totalement faux. 

Le système immunitaire est composé de trois niveaux. Aujourd’hui, les allergiques se concentrent sur le système immunitaire de deuxième niveau. Il dit que c’est là où il y a la réaction allergique et donc qu’il faut y travailler. En fait, il faut regarder la raison de l’activation du système immunitaire de deuxième niveau. Quand on aura compris pourquoi il s’active, on travaillera sur la cause. En un seul mot, le système immunitaire de premier niveau n’a pas fait son travail. 

Le premier niveau du système immunitaire

D’abord, le système immunitaire de premier niveau, c’est un ensemble de barrières physiques et chimiques du corps. On a des barrières physiques. Notre peau (le plus grand organe sur le corps) est une barrière physique. Elle bloque physiquement les agents pathogènes qui veulent rentrer à l’intérieur de notre corps. On a aussi les muqueuses (des barrières physiques). C’est la porte d’entrée et de sortie des éléments qui veulent rentrer à l’intérieur de notre corps. 

Sur ces barrières physiques, on a des barrières chimiques. C’est un ensemble d’armes chimiques à disposition sur nos muqueuses et sur notre peau. Ils viendront renforcer la défense et protection de notre corps. On a plusieurs armes chimiques. Par exemple, l’acidité sur la peau, les mucus sur nos muqueuses. Ils viendront renforcer le travail de la barrière physique. 

Le microbiote et son lien avec les allergies à la moisissure

Ensuite, on a le microbiote. Il est aussi extrêmement important sur notre peau et nos muqueuses. On parle souvent du microbiote intestinal. C’est le plus important, car c’est la base de tous nos microbiotes. C’est même la base de notre santé et de notre système immunitaire. Mais on a d’autres microbiotes sur notre peau sur nos muqueuses. Ces microbiotes viendront protéger notre corps. 

Notre corps fonctionne comme un pays, avec des frontières

J’aime utiliser une métaphore entre le corps et le système immunitaire. Le corps fonctionne comme un pays.

  • Les frontières de notre pays : les barrières physiques (la peau et les muqueuses).
  • Le microbiote sur les frontières : les soldats qui se trouvent sur notre pays.
  • Les barrières chimiques : les armes à disposition sur cette frontière (des grenades, des fumigènes, etc).  

Tout cela nous permet d’avoir des frontières solides, des murs épais, des soldats en forme et en bon nombre, des armes fonctionnelles. Aucune armée extérieure ne pourra rentrer dans notre pays. Quand une armée étrangère veut rentrer, on aura la capacité de se défendre. 

On est encore extrêmement jeune sur le sujet de microbiote. Cela ne fait que quelques années qu’on en parle. Aujourd’hui, on n’en connaît pratiquement rien. Mais on sait que notre système immunitaire de premier niveau représente 80 % de notre système immunitaire. Pourtant, quand on nous parle d’allergies, on ne nous parle que du système immunitaire de deuxième niveau. Cependant, le système immunitaire de premier niveau est le plus important. 

Le système immunitaire de deuxième niveau et son lien avec les allergies à la moisissure

Le système immunitaire de deuxième niveau est le système immunitaire « humoral ». C’est ce qui se passe à l’intérieur de nos humeurs (notre sang, notre lymphe). On y trouve la création des anticorps qui attaqueront les antigènes (nos allergènes), le travail des lymphocytes et macrophagocytes. C’est là où il va y avoir la libération de l’histamine qui mobilise tous les soldats dont on a besoin pour combattre l’armée extérieure. Quand il y a libération d’histamine, il y a réaction allergique. Si on prend des médicaments antihistaminiques, on endort nos soldats. Ils arrêteront de combattre et laisser cette armée extérieure se promener dans notre corps. 

 Le problème quand on fait des allergies à la moisissure est qu’on ne cherche qu’à camoufler les symptômes de nos allergies respiratoires grâce à des traitements contre les allergies respiratoires. En faisant ça, on ne travaille pas sur les causes de nos allergies et on reste allergique toute notre vie.

Comprendre ce qu’est un allergène pour comprendre ses allergies à la moisissure

La moisissure fait partie des allergènes respiratoires principaux. Il y a un point important à comprendre pour lier le premier et le deuxième niveau. C’est comprendre ce qu’est « un allergène ». C’est quelque chose à laquelle notre système immunitaire réagira. Dans notre cas, c’est la moisissure. 

L’allergène est toujours une molécule complexe, différent d’une molécule simple. La molécule simple est assimilable (utilisable) par le corps. Par contre, une molécule complexe ne peut pas rentrer théoriquement dans le corps telle qu’elle. Le corps sait filtrer ce qui l’intéresse ou ce qui ne l’intéresse pas. Il ne fait rentrer que les choses qui l’intéressent. Quand il y a une molécule complexe qui rentre dans le corps, il ne peut pas l’utiliser. C’est non voulu. Il a besoin de prendre cette molécule complexe, la transformer en plusieurs molécules simples, les utiliser pour construire ce dont il veut. 

Si on regarde, on est toujours allergique à des protéines. Ce sont des molécules complexes. Le corps ne peut les transformer en molécules simples que par la digestion. Il va utiliser des enzymes qui viendront découper cette protéine. Ces petits morceaux de protéines sont des acides aminés. Le corps peut utiliser ces acides aminés. Il les rassemble pour faire des protéines, s’il le souhaite. Mais le corps ne peut pas prendre une protéine, le faire rentrer à l’intérieur du corps et l’utiliser telle qu’elle. 

Une molécule complexe ne devrait pas passer de l’extérieur vers l’intérieur telle quelle

C’est comme si le corps a besoin de construire des maisons. Il ne va pas prendre des maisons pour construire des maisons. Il va prendre une maison, la casser et récupérer les briques. Avec ces briques, il va faire ses propres maisons. C’est complètement anormal d’avoir une molécule complexe provenant de l’extérieur sans transformation par le corps. En d’autres termes, ce n’est pas normal que notre allergène arrive dans notre corps sans blocage ou assimilation. On n’est jamais allergique à des acides aminés. On est toujours allergique à des protéines. 

Problème : comment cet Allergène est entré dans notre sang ?

Reprenons la métaphore du pays. Si une armée étrangère a réussi à rentrer à l’intérieur de notre pas, c’est que notre armée aux frontières n’a pas fait son travail. On a une frontière poreuse. Les soldats (notre microbiote) sont en sous-effectifs et pas en forme. On n’a pas assez d’armes puissantes pour réussir à combattre. Des armées étrangères pourront rentrer facilement à l’intérieur de notre pays. En conséquence, le deuxième niveau de sécurité de notre corps va faire son travail. Il attaque les agents pathogènes, parce que notre corps ne laisse pas des choses étrangères qui ne servent à rien.

Le système immunitaire de deuxième niveau fait exactement son travail. C’est son rôle d’être le gendarme du corps. Dans notre cas, la moisissure est rentrée dans notre corps. La moisissure n’a aucun intérêt pour nous. Dans le cas des allergies à la moisissure, notre système respiratoire est une muqueuse. Ce système respiratoire devrait faire son travail : faire rentrer ce qui l’intéresse et laisser à l’extérieur ce qui ne l’intéresse pas. 

Si on fait des allergies à la moisissure, c’est que notre système immunitaire de premier niveau n’a pas fait son travail. Si on ne veut plus voir d’armée extérieure à l’intérieur de notre pays, il suffit de fermer la porte. Cela consiste à mettre un mur solide, un vrai microbiote intestinal, des armes fonctionnelles à l’intérieur. Quand les frontières auront récupéré leur force, aucune armée étrangère ne pourra rentrer dans le pays. L’armée intérieure ne combattra plus, car elle ne rencontrera plus d’ennemis (notre allergène).

Le troisième niveau du système immunitaire n’a pas de lien avec les allergies à la moisissure

Ensuite, il y a un troisième niveau du système immunitaire dont on va parler très peu. Il n’a pas de lien direct avec les allergies. Le troisième niveau du système immunitaire, c’est le « système immunitaire cellulaire ». C’est le système qui attaque les cellules cancéreuses, les cellules infectées et les cellules étrangères. C’est aussi un système immunitaire très important, mais il n’a aucun lien direct avec les allergies. 

Jusqu’ici, on est en train de parler d’allergies à la moisissure. On a parlé aussi du microbiote intestinal. J’ai pris pas mal de temps à essayer de comprendre son fonctionnement. Vous pouvez dire que vos allergies à la moisissure n’ont aucun lien avec les intestins. Un épisode sur les allergies respiratoires est aussi disponible sur ce lien. 

Le lien entre les intestins et les allergies à la moisissure

En fait, il y a un lien entre le système respiratoire et nos intestins. La base de notre système immunitaire se trouve dans nos intestins. Notre microbiote intestinal a un impact sur tous les autres microbiotes de notre corps. La qualité de notre muqueuse intestinale a un impact sur l’ensemble de nos autres muqueuses. La qualité de nos barrières chimiques dans les intestins a un impact sur l’ensemble de la qualité de nos barrières chimiques. 

Travailler sur la base de notre système immunitaire qui se trouve dans les intestins impacte l’ensemble de nos muqueuses. Dans le cas des allergies à la moisissure, en se concentrant sur les intestins, on réussit à récupérer une vraie immunité. J’expérimente cela avec mes clients qui ont des allergies respiratoires. 

La deuxième cause des allergies à la moisissure : un système lymphatique surchargé

La deuxième cause pour faire des allergies à la moisissure, c’est d’avoir un système lymphatique surchargé. C’est un système dont on ne parle jamais, surtout pour les allergiques. En fait, il y a un lien énorme entre les allergies et un système lymphatique surchargé. J’ai mis beaucoup plus de temps à comprendre ce lien. C’est beaucoup plus compliqué à comprendre. Mais mes expériences avec mes clients m’ont permis de bien comprendre. 

Le système lymphatique est le système de gestion des déchets du corps. Notre corps crée des déchets, ou les obtient de l’extérieur. Il a besoin de les gérer. Un ensemble de canaux viennent récupérer ces déchets. Ensuite, il les met dans des petites centrales dans notre corps. Après nettoyage, il va les envoyer dans les portes de sortie du corps qu’on appelle des « émonctoires ». Notre corps a plusieurs émonctoires, comme les poumons (avec l’air), la peau (avec la transpiration), les reins (avec les urines), les intestins (avec les selles). 

Le lien entre système lymphatique, système immunitaire et allergies à la moisissure

À noter qu’il y a un lien étroit entre le système immunitaire et le système lymphatique. Le système immunitaire se trouve majoritairement dans le système lymphatique. Avoir un système lymphatique de qualité permet de maîtriser totalement ses allergies sur le long terme. C’est la raison de la maladie de peau, comme l’eczéma et le psoriasis, chez des allergiques. 

En fait, le système lymphatique surchargé est la cause principale des maladies de peau. En travaillant sur les deux causes pour maîtriser totalement ses allergies avec mes clients, ils ont réussi à maîtriser totalement ses allergies. De plus, cela a aussi un impact énorme sur leur maladie de peau. On travaille exactement sur la même cause. 

Donc, l’objectif c’est de travailler sur son système lymphatique. En le déchargeant, on réussit à maîtriser ses allergies sur le long terme. 

Travailler sur les causes pour maîtriser ses allergies à la moisissure

Pour conclure, la science prouve bien qu’on est responsable de notre santé. Pour avoir un impact positif sur notre santé, il faut :

  • Améliorer son système immunitaire de premier niveau
  • Décharger son système lymphatique 

En travaillant sur ces deux causes des allergies, on va réussir à maîtriser son allergie toute sa vie. C’est ce que je fais avec mes clients en huit semaines, satisfait ou remboursé. Tous mes clients sont extrêmement satisfaits, parce qu’on fait quelque chose que tout le monde pensait complètement impossible. Les allergies ne sont pas une fatalité.

 Epigenise pour maîtriser ses allergies à la moisissure en 8 semaines, satisfait ou remboursé

Epigenise est le premier cabinet 100% dédié aux allergiques. Nous proposons plusieurs services destinés à tous les allergiques. Le principal service est un programme pour permettre à n’importe quel allergique d’apprendre à maitriser ses allergies en 8 semaines, en travaillant sur la cause de ses allergies. Ce programme est satisfait ou remboursé, car nous savons qu’en travaillant sur les causes et non sur les symptômes, cela change les résultats.

J’ai créé Epigenise pour permettre à tout le monde de bénéficier de mes expériences. Si vous souhaitez en savoir plus sur Epigenise, je vous conseille l’épisode qui est Epigenise ?