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La première cause des allergies aux poils d’animaux est un système immunitaire en immunodéficience. Le premier niveau du système immunitaire ne fait plus bien son travail donc laisse passer des allergènes dans le corps. Le système immunitaire de deuxième niveau va alors attaquer cet allergène car l’allergène ne devrait pas s’y trouver. La deuxième cause des allergies est un système lymphatique surchargé. Pour maitriser ses allergies sur le long terme, il est important d’aider son système lymphatique à se décharger. On parle de tout cela dans cet épisode !

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Retranscription écrite de la vidéo (la qualité de la retranscription est sans doute moyenne car j’ai utilisé un logiciel de reconnaissance vocale) :

 

Hello les Allergiques, 

C’est Epigenise. Aujourd’hui je réponds à une question de Nolwenn qui me demande :

Pourquoi je suis allergique aux poils d’animaux ?

Très souvent, quand on dit qu’on est allergique aux poils d’animaux, on parle soit d’allergie aux poils de chats, soit d’allergie aux poils de chiens. Bien sûr, cela peut être tous les animaux avec des poils.

Pour pouvoir répondre à la question de Nolwenn, je vais d’abord commencer par présenter la définition de l’allergie qui vient de la médecine conventionnelle. Ensuite, je vais vous présenter ce que je pense être plus précis avec mon expérience, afin de comprendre la cause des allergies aux poils d’animaux.

La vision “classique” des allergies aux poils d’animaux

La définition “classique” de l’allergie, c’est une réaction inappropriée ou disproportionnée du système immunitaire face à quelque chose de banale. Il y a plusieurs causes pour lesquelles notre système immunitaire serait “déréglé”. Selon cette vision des allergies, la première chose, ce que c’est génétique. On récupère cela de nos parents. C’est écrit dans nos gènes et on ne peut rien y faire. 

Ensuite, on nous propose plusieurs autres hypothèses. Aucune n’est vérifiée, mais ce sont des pistes :

  • La pollution
  • Le trop d’hygiène dans notre société
  • Ne plus allaiter les enfants avec le lait maternel
  • La transformation de notre environnement. Que cela soit les végétaux ou les animaux que nous mangeons.
  • L’importation de nourriture “exotique” que le corps ne pourrait pas être capable de digérer parce qu’il n’a pas l’habitude. Par exemple : consommer des dates du Maroc alors qu’on est en France. Nous n’avons pas les enzymes disponibles pour permettre de bien digérer ces choses, et cela déréglerait le système immunitaire.

Il y a une base qui dit, selon la vision classique des allergies : « Vous êtes allergique, parce que c’est dans vos gènes ! ». Ensuite, il y a plein d’hypothèses dont je vous ai parlé, qu’ils vont rajouter dessus. Ce qu’on voit, c’est qu’on n’a jamais réussi à prouver qu’aucune de ces hypothèses n’est vraie. Ce sont des hypothèses pour l’instant. 

Cette vision fataliste des allergies ne fonctionne pas

J’ai suivi cette manière de penser pendant les dix-huit premières années de ma vie. J’étais allergique depuis tout bébé. Je n’ai jamais remis en question cette vision des allergies car j’avais un parent qui avait des allergies. Donc, cela me paraît assez cohérent. Par contre je voyais bien que des personnes sans antécédent dans leur famille devenait allergique du jour au lendemain donc je me disais qu’il n’y avait pas que cela.

En fait, c’est normal que ces traitements n’apportent pas de fruits sur le long terme, car ils travaillent uniquement sur les symptômes, pas sur la cause des allergies aux poils d’animaux.

Les allergiques peuvent se trouver dans une impasse si on ne travaille pas sur la cause des allergies aux poils d’animaux

Jusqu’à 18 ans, j’avais suivi tous les conseils qu’on donne aux allergiques pour essayer que mes allergies ne s’aggravent plus. J’ai fait tout ce qu’il fallait. Arrivé à 18 ans, j’étais dans une impasse. J’avais tout fait, mais mes allergies s’aggravaient. Même si je faisais tous les efforts du monde pour suivre les conseils qu’on me donnait. Je voyais bien que cela s’empirait d’année en année. Pourquoi ? Car la médecine conventionnée ne me proposait que des traitements pour les allergies respiratoires qui ne travaillent que sur les symptômes de les allergies respiratoires. Ces traitements ne travaillaient jamais sur la cause des allergies aux poils d’animaux, car ils ne la connaissent pas. À 18 ans, j’ai décidé de remettre en question tout cela et de rechercher d’autres pistes pour améliorer mes allergies.

Epigenise pour aider tous les allergiques

Avec tout ce chemin que j’ai parcouru depuis, je ne partage plus cette vision des allergies. Je ne suis plus là à dire que c’est génétique et qu’on ne peut rien faire. De par mon expérience qui m’a permis de maîtriser totalement mes allergies alors que tous les plus grands spécialistes n’y sont jamais arrivés pendant 20 ans. J’ai créé Epigenise qui est le premier cabinet pour accompagner n’importe quel allergique à maitriser totalement ses allergies en 8 semaines. Satisfait ou remboursé. A travers Epigenise, je souhaite que plus aucun allergique vive l’enfer des allergies.

Les allergies sont une maladie jeune et en pleine croissance

Quand j’ai commencé à faire des recherches sur les allergies, j’ai essayé de comprendre quel est le pourcentage de la population allergique. Je me suis rendu compte que 30 % de la population en France était allergique. Ce chiffre n’est pas un chiffre stable. Il est en croissance continue. Tous les ans, il y a 5 % d’allergiques en plus par an. Selon les prévisions de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en 2050 la moitié de la population mondiale sera allergique à quelque chose. 

Les allergies sont la quatrième maladie mondiale. À ma connaissance, c’est la maladie avec le plus fort taux de croissance qui existe sur la terre. Avant 1970, le taux de pourcentage de la population qui était allergique était seulement de 3 %. Cela m’a surpris. On voit qu’en 1900, 1910, 1920, 1930, 1940, 1950, 1960, c’est seulement 3 % de la population française qui était allergique. On voit que dans tous les pays encore non industrialisés, c’est exactement pareil qu’avant les années 70. À partir des années 70, on voit que tous les pays industrialisés commencent à avoir leur taux d’allergies augmenter radicalement d’année en année. On est passé de 3 %, qui est un taux classique pour un pays non industrialisé à 30% aujourd’hui. Tous les ans cela augmente. 

Le patrimoine génétique de tout le monde a évolué d’un coup aux années 1970 ?

Ces chiffres sont exactement les mêmes dans tous les pays qui sont industrialisés. Je me suis dit que c’est quand même super étrange qu’à partir des années 70, le taux de pourcentage de la population allergique augmente d’un coup. 

La théorie de la génétique ne tient pas la route, puisque nos gènes n’ont pas tous évolués à partir de 1970. Il y avait quelque chose qui n’allait pas dans cette théorie. Cela me paraît très bizarre que dans les années 70, on ait tous modifié notre ADN. 

Il y a une grosse différence entre les pays industrialisés et les pays non industrialisés. C’est-à-dire que, quand on est un pays industrialisé, aujourd’hui en 2020, on a à peu près 30 % d’allergiques dans sa population. Alors que, quand on est un pays en voie de développement, on est aux alentours de 3 %. On n’a pas du tout les 30 % qui sont dans les pays industrialisés. (Les gènes de la population attendent que le pays s’industrialise pour évoluer et faire des allergies ?!).

Il y a quelque chose qui ne va pas dans la vision des allergies qu’on me propose. Ce n’est pas cohérent. Alors, je me suis renseigné sur la question de la génétique pour bien comprendre le sujet. 

La génétique se casse le nez sur l’épigénétisme

 

Il y a 30 ans, un projet nommé « Projet Génome Humain » se lançait. L’objectif de ce projet était de réussir à déchiffrer l’ensemble du génome humain. L’hypothèse était que si toutes les maladies sont génétiques, on pourra voir qui va être malade de quoi et ainsi prévenir cette maladie. On pourra permettre à chacun de prévoir ses maladies et de ne pas tomber malade. C’était un projet super intéressant. 

On a pris 15 ans à faire ce projet qui a coûté des milliards d’euros. Tous les plus grands scientifiques du monde ont travaillé sur ce projet. Au bout de 15 ans, on a réussi à décrypter l’ensemble du génome humain. À ce moment-là, on s’est rendu compte qu’on découvrait quelque chose auquel on ne s’attendait pas. On pensait que l’ensemble de notre ADN était « codant », c’est-à-dire que quand c’est écrit dans nos gènes, c’est activé et donc on ne pouvait rien y faire.

La cause des allergies aux poils d’animaux n’est pas génétique, mais épigénétique

On a remarqué qu’au-dessus de la génétique, il y a ce qu’on appelle maintenant « l’épigénétisme ». C’est quelque chose qui va se placer au-dessus de la génétique et qui va venir activer ou désactiver les gènes qu’on a dans notre patrimoine génétique. Ce projet a permis de découvrir que 95 % de nos gènes sont « non codants », c’est-à-dire qu’on peut les activer ou les désactiver. Nous avons seulement 5 % de nos gènes qui sont codants et qu’on ne peut pas activer ou désactiver. Cela veut dire que, la très grande majorité de notre patrimoine génétique est activable ou désactivable. Il y a seulement 5 % qui n’est pas désactivable. Ces 5 %, c’est, en majorité, tous les caractères physiques qu’on a, comme la couleur des cheveux, de la peau, des yeux, etc. On ne peut rien y faire. Par contre, 95 % de nos gènes qui sont activables ou désactivables. 

On les active/désactive à travers des facteurs environnementaux : notre hygiène de vie, notre alimentation, comment on vit, nos émotions, ce que nous faisons de notre temps libre, la température autour de nous, etc. Bref, ce sont des milliers de facteurs, si ce n’est des centaines de milliers que notre corps prend en compte, qui va venir activer ou désactiver ce qui est écrit dans notre patrimoine génétique.  

On pensait que tout était écrit dans le marbre, alors que l’épigénétisme prouve que la maladie n’est pas génétique. La génétique se casse le nez sur les l’épigénétisme. C’est extrêmement intéressant pour nous, allergiques. Quand j’ai découvert cela, je me suis dit « OK ! Il y a une piste ». Peut-être que j’ai une prédisposition pour faire des allergies, mais grâce à l’épigénétisme, je peux peut-être désactiver mes allergies. 

Le système immunitaire fait ce qu’il doit faire

En vérité, le système immunitaire des allergiques ne “dysfonctionne” pas. Le rôle du système immunitaire est d’être le gendarme du corps. Il attaque tout agent pathogène qui se trouve dans le corps, alors qu’ils ne devraient pas s’y trouver. Le corps doit décider ce qui rentre et ce qui ne rentre pas à l’intérieur.

Maintenant je vais vous présenter les deux causes des allergies aux poils d’animaux, vous allez voir que ces deux causes sont très proches des deux causes des allergies aux animaux puisque les allergies aux animaux peuvent aussi être des allergies aux plumes d’animaux.

La première cause des allergies aux poils d’animaux est un système immunitaire immunodéficient

Le système immunitaire des allergiques aux poils d’animaux est en immunodéficience. C’est-à-dire qu’il est affaibli. Il ne dysfonctionne pas. Simplement, il n’a pas toutes ses forces pour réussir à faire le travail qu’il faut. C’est l’opposé de la vision “classique” des allergies, puisqu’on dit qu’il surréagit, donc ils sur-travaille. Ce que j’ai pu confirmer c’est qu’il ne surréagit pas. Il fait exactement son travail. Par contre, il est en immunodéficience sur un certain niveau du système immunitaire. 

Pour comprendre les allergies aux poils d’animaux, il faut aussi comprendre comment fonctionne le système immunitaire. Le système immunitaire a trois niveaux. Quand on est allergique, on ne nous parle que du système immunitaire de deuxième niveau, en nous présentant comme si le système immunitaire est juste le système immunitaire de deuxième niveau, mais sans nous dire qu’on ne parle que du système immunitaire de deuxième niveau.

Les trois niveaux du système immunitaire

En réalité, le système immunitaire a trois niveaux. C’est très important de comprendre ces trois niveaux pour comprendre le problème quand notre corps fait des allergies aux poils d’animaux. Le premier niveau, c’est celui dont on ne parle jamais. Ce qui m’a surpris, car on ne m’avait jamais parlé de ce niveau quand je faisais des allergies. Pourtant, c’est le niveau sur lequel il faut travailler quand on fait des allergies aux poils d’animaux.

Le premier niveau du système immunitaire

Le premier niveau, c’est celui qui est composé de nos barrières physiques et de nos barrières chimiques. Les barrières physiques, c’est la peau. La peau est poreuse. Elle va accepter ou refuser des choses en fonction de ce qui l’intéresse. On a aussi des barrières chimiques classiques comme l’acidité de la peau qui va venir attaquer les bactéries pathogènes avant qu’elles rentrent dans notre corps. Sur nos muqueuses, du mucus va venir emprisonner les agents pathogènes et les faire sortir. La barrière physique est la peau et toutes les muqueuses sur notre corps. Les barrières chimiques sont toutes les armes qui se trouvent sur nos barrières physiques qui vont venir renforcer l’effet des barrières physiques.

Le microbiote intestinal et le lien avec les allergies aux poils d’animaux

Un troisième élément du premier niveau du système immunitaire est le microbiote. On parle très souvent du microbiote intestinal. C’est la base de tous les microbiotes. Nous avons des microbiotes partout : sur la peau et sur toutes nos muqueuses. Ce sont les petits soldats qui se trouvent sur la frontière (la barrière physique, barrière chimique).  

Notre découverte sur le microbiote est très jeune. On ne fait que commencer à comprendre son impact sur notre santé. Aujourd’hui, on ne comprend pas encore vraiment comment utiliser nos connaissance pour améliorer l’état de santé des gens. Le système immunitaire de premier niveau représente les 80 % de notre système immunitaire. Pourtant, on ne nous parle que du système immunitaire de deuxième niveau qui présente le 10 % du système immunitaire. 

Le système immunitaire de troisième niveau

Un troisième niveau, le système immunitaire cellulaire, représente aussi 10 %. Cela veut dire qu’on oublie de parler du système immunitaire de premier niveau qui est le plus important quand on fait des allergies, en se concentrant sur le système immunitaire de deuxième niveau. 

Le système immunitaire de deuxième niveau

Le système immunitaire de deuxième niveau que vous connaissez plus puisque c’est celui dont on nous parle quand on fait des allergies. C’est là que notre corps va créer des anticorps pour aller attaquer des antigènes (allergène auquel on réagit). Le système immunitaire de deuxième niveau libère l’histamine, qui va permettre de mobiliser très rapidement tous les soldats dont on a besoin pour combattre. Quand on prend des médicaments antihistaminiques, on enlève les armes à nos soldats, et ils ne peuvent plus attaquer. On laisse nos ennemis se balader sur notre territoire. 

Je vois le corps humain comme un pays. Il y a des frontières. Imaginons un mur. Ce mur c’est notre peau et nos muqueuses. Il y a un microbiote (tous les soldats avec des armes avec des grenades, etc). Ce sont les armes qu’ils vont pouvoir utiliser pour renforcer l’efficacité de la barrière physique. S’il y a une attaque à l’intérieur du pays, s’il y a des soldats étrangers qui rentrent dans le pays et qui font la guerre avec nos soldats de notre pays, c’est que la frontière n’a pas fait son travail.

Si les soldats étrangers rentrent dans notre pays, peut-être qu’on a des frontières qui ne font plus leur travail. Il faut améliorer les barrières physiques, les barrières chimiques et le microbiote intestinal. Je me répète, le système immunitaire c’est 80 % de notre immunité. En faisant cela, on a une vraie barrière physique et les agents pathogènes ne pourront plus rentrer dans le corps. 

Comprendre ce qu’est un allergène est très important pour comprendre ses allergies aux poils d’animaux

Les poils d’animaux font partie des principaux allergènes respiratoires. Un allergène est une molécule complexe qui se trouve dans notre sang alors qu’elle ne devrait pas s’y trouver. 

Il y a deux notions très importantes à intérieur : « complexe » et « qui se trouve dans notre sang alors qu’elle ne devrait pas s’y trouver ». 

Molécule “complexe” VS molécule “simple”

Le corps ne peut assimiler à l’intérieur de lui que des molécules simples. Il ne peut pas assimiler de molécules complexes. Pour en construire, il a besoin d’utiliser des briques, de petits éléments qui vont être assemblés pour construire ce qu’il cherche à faire. Il ne peut pas prendre de molécules complexes pour construire des choses. 

Quand on s’alimente, on va manger des molécules complexes. Par exemple, si on mange de la noix, on va manger des protéines, mais le corps ne va pas assimiler les protéines telles quelles. Il va devoir utiliser la digestion avec des enzymes pour déstructurer totalement cette protéine, la mettre en tout petit morceau. Le plus petit “morceau” des protéines s’appelle un “acide aminé”. Le corps ne va pas utiliser la protéine telle quelle. Il va utiliser les acides aminés qu’il aura mis à sa disposition grâce à la digestion. Ensuiteil va venir les assimiler, et c’est à ce moment-là qu’elles vont rentrer dans le corps. En réalité, le corps ne peut pas construire une maison (je fais un schéma) en empilant des maisons pour construire une maison. Il va prendre une maison, la casser, récupérer toutes les briques et les utiliser pour reconstruire sa maison.

Le corps ne peut assimiler que des molécules simples, non des molécules complexes

Le corps ne peut pas assimiler des molécules complexes telles quelles. Il doit assimiler des molécules simples, parce qu’ils n’utilisent que les molécules simples pour construire ce qu’il veut faire avec. Ce n’est pas normal qu’il y ait réaction allergique à des protéines dans notre sang, car il ne devrait pas passer dans notre sang des protéines extérieures dans leurs formes actuelles. 

J’étais surpris quand j’ai appris cela : avoir une protéine telle quelle dans son sang, ce n’est pas normal. Normalement, on a des muqueuses qui sont là pour filtrer ce qui est complexe et simple. Ce qui est complexe, on ne le fait pas rentrer tel quel. Si le corps s’y intéresse, il récupère ces molécules simples parce qu’il peut les utiliser. Il va les assimiler pour pouvoir les utiliser à l’intérieur du corps.

Cette protéine ne devrait pas rentrer dans mon sang telle quelle. Cela recoupe encore l’idée que, si la frontière ne fait plus bien son travail, il y a des choses qui passent alors qu’ils ne devraient pas passer. 

Voilà la définition de l’allergène : il y a des choses qui rentrent dans le corps alors qu’elles ne devraient pas passer parce que sous cette forme-là, cela ne marche pas. Pour les allergies aux poils d’animaux, c’est exactement pareil, puisque ce n’est pas normal d’avoir des poils d’animaux qui rentrent dans notre sang. Ce n’est pas normal que des molécules complexes comme celles-ci rentrent à l’intérieur de notre sang. Donc, c’est normal que le système unitaire de deuxième niveau ait à attaquer ces molécules, puisqu’elle ne devrait pas s’y trouver. On voit bien qu’il y a eu un problème au niveau du système immunitaire de premier niveau. 

Le lien entre le microbiote intestinal et les allergies aux poils d’animaux

J’ai pris du temps à expliquer le lien entre les allergies respiratoires et le microbiote intestinal. Le microbiote intestinal est dans nos intestins et les maladies respiratoires sont au niveau du système respiratoire. En fait, quand j’accompagne des allergiques aux poils d’animaux ou tous les allergiques respiratoires, je travaille toujours essentiellement sur le système immunitaire de premier niveau. Je me focalise aussi énormément sur le microbiote intestinal. Vu que le microbiote intestinal représente 80 % de notre immunité, ce microbiote a un impact sur l’ensemble des microbiotes. La qualité des muqueuses de nos intestins a un impact sur un ensemble de la qualité des muqueuses de l’organisme.  

En travaillant sur la base de notre immunité, les intestins, on travaille sur l’ensemble des muqueuses et des microbiotes de notre corps. Quand on réussit à travailler sur notre système immunitaire de premier niveau, et principalement aussi sur les intestins, on réussit à maîtriser totalement ses allergies aux poils d’animaux. 

La deuxième cause des allergies aux poils d’animaux, un système lymphatique surchargé

Il y a une deuxième cause aux allergies aux poils d’animaux. Pour que le corps fasse des allergies aux poils d’animaux, c’est qu’il a un système lymphatique surchargé. 

Le système lymphatique est un système qui est assez peu connu et mal aimé. On en parle très peu, surtout pas, quand on est allergique. On n’en parle jamais aux allergiques. 

C’est un système de gestion des poubelles du corps. Notre corps a des déchets qu’il doit traiter. C’est l’ensemble de vaisseaux dans tout le corps qui vont venir récupérer les déchets, les amener dans des centrales d’épuration que nous avons un petit peu partout dans le corps. Ces centrales vont traiter ces déchets. Ils les envoient dans les émonctoires du corps. On a plusieurs émonctoires : les poumons (avec l’air), les reins (avec l’urine), les intestins (avec les selles), la peau (avec la transpiration). C’est le système lymphatique qui doit réussir à sortir ces déchets. 

Le lien entre le système immunitaire et le système lymphatique

Il y a un gros lien entre le système immunitaire et le système lymphatique, puisque le système immunitaire se trouve majoritairement dans le système lymphatique. C’est pour cela que beaucoup d’allergiques font des maladies de peau comme de l’eczéma et du psoriasis. La cause principale des maladies de peau, c’est aussi un système lymphatique surchargé. Ce qu’il faut faire est de décharger son système lymphatique pour avoir un système lymphatique propre, et avoir un système immunitaire qui respire bien là où il se trouve. C’est aussi un aspect sur lequel je travaille avec mes clients. Si on veut maîtriser totalement ses allergies sur le long terme, il faut obligatoirement travailler sur l’immunodéficience du système immunitaire de premier niveau et le système lymphatique qui est surchargé. 

Conclusion pour comprendre ses allergies aux poils d’animaux

Pour conclure dans cette vidéo, ce qu’il faut faire quand on a les allergies aux poils d’animaux, c’est :
1) d’améliorer son système immunitaire de premier niveau comme on l’a vu, et
2) de décharger son système lymphatique. 

Epigenise pour maitriser ses allergies aux poils d’animaux en 8 semaines (satisfait ou remboursé)

J’ai justement créé Epigenise pour permettre à n’importe qui de maitriser ses allergies en 8 semaines. J’ai eu moi aussi énormément d’allergies et je me suis trouvé très tôt dans une impasse médicale de laquelle je n’arrivais pas à sortir. Je vous raconte toute mon histoire dans mon épisode qui est Epigenise.

Epigenise est le premier cabinet 100% dédié aux allergiques pour bénéficier de mon expérience et réussir à maitriser ses allergies en 8 semaines. J’offre une garantie que personne ne peut faire : satisfait ou remboursé, car je travaille sur les causes, non sur les symptômes. Epigenise propose plusieurs services pour permettre d’accompagner tout le monde.